21 décembre 2007
Sur un coteau voisin
En voici d'autres qui n'ont pas l'air bien stressés pour mettre à sac ce maïs cultivé à leur intention.
A en juger par ce début d'hiver, nos braves sangliers ont bien fait de se goinfrer de faînes, glands et autres fruits sauvages.
J'ai malgré tout d'énormes doutes sur le fameux instinct de "sus scrofa"... Mettre en chantier fin juillet une mise bas pour novembre (j'en avais parlé, photo gore à l'appui, cet été) laissait augurer d'un hiver plutôt clément. Ors, depuis une semaine, on se les cailles, et j'ai entendu que ça allait durer jusqu'au 10 janvier. Les sujets issus de ce fabuleux rut estival devront être rudement costauds pour devenir grands !
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